fbpx

Psych Rock

  • Variation excessivement hors du commun. Il ne se vendait plus beaucoup de Beatles au milieu des années 80s. La qualité des pressings est à son apogée et précède les enregistrements DMM digitaux. Une valeur sûre ici ! Vinyle, Album, Label : Capitol Records – SWBO-101, (c)1968 _ (p)1984, Black Capitol Records label rainbow-colorband État des vinyles : EX État de la pochette : VG+ : un pli en avant à droite dans le bas, avec son poster qui a été par le passé accroché au mur. _____ Nous utilisons des images de disques à titre de référence. Veuillez noter que les photos affichées sont à titre indicatif seulement. Référez-vous à notre légende pour bien comprendre l’état, la condition.
  • Vinyl, Album, Label : Columbia – PC2 44484, 1988, Canada Album pas évident à dénicher dans sa version vinyle et canadienne. Ici la première variation avec les vinyles "Made in U.S.A." État des vinyles : NM- _ NM- _ NM- _ EX, du solide ! État de la pochette : VG+ (décoloration) + wear at seems, w/ OIS (2) _____ Nous utilisons des images de disques à titre de référence. Veuillez noter que les photos affichées sont à titre indicatif seulement. Référez-vous à notre légende pour bien comprendre l’état, la condition.
  • Vinyle, LP, Album, Label : Rare Earth – RS 507, 1969, Canada État du vinyle : VG+ fort ou EX, beau État de la pochette : EX++, in shrink, ruban gommé utilisé pour maintenir le cellophane d'origine _____ Nous utilisons des images de disques à titre de référence. Veuillez noter que les photos affichées sont à titre indicatif seulement. Référez-vous à notre légende pour bien comprendre l’état, la condition.
  • Vinyles, Album, Label : Polydor – 2485 228, Netherlands Condition : État du vinyle : NM- État de la pochette : VG+ (coin/creases), très belle pochette. _____ Nous utilisons des images de disques à titre de référence. Veuillez noter que les photos affichées sont à titre indicatif seulement. Référez-vous à notre légende pour bien comprendre l’état, la condition.
  • Superbe album double qui regroupe deux albums cultes Québécois. Un vieux débat consiste à apprécier plus leur premier que leur deuxième, et le contraire. Un avec plus de guitare, l'autre complexe, mélodique et avant-gardiste. Cet album répondait à une demande de repressage mais avec un auditoire limité, le son qui changeait, Trans-World a opté pour cette édition limitée. Les disques sont NM et ont joué deux fois, une fois lors de son achat puis nous venons de le faire jouer. Nous vous offrons un disque en excellente condition, avec même un restant de shrink ... ;) (mais ne compter pas sur cette info. : il est manquant presqu'intégralement). Vinyle, LP, Label : Trans-World International – TWK-6528/29 _ Trans-World International – TWK-6028/29, 1974, Canada État des vinyles : NM- État de la pochette : VG+ : en raison d'un résiduel de ruban gommé utilisé il y a 50 ans pour maintenir le cellophane sur la pochette. Il reste d'ailleurs une portion de cellophane sur la pochette. _____ Nous utilisons des images de disques à titre de référence. Veuillez noter que les photos affichées sont à titre indicatif seulement. Référez-vous à notre légende pour bien comprendre l’état, la condition.
  • Pochette toujours dans son cellophane d'origine, avec gatefold jamais ouvert. Vinyl, Album, Label : Mercury – SRM 1-652, Canada État du vinyle : EX ++ État de la pochette : VG : in shrink ! Serait NM- si ce n'était d'un saw cut principalement visible à l'arrière de la pochette. Ceci a généré des plis. Quand vous aurez ce disque entre vos mains et le regarderez, vous ne serez pas déçu. Photos communiquées sur demande et avec plaisir. _____ Nous utilisons des images de disques à titre de référence. Veuillez noter que les photos affichées sont à titre indicatif seulement. Référez-vous à notre légende pour bien comprendre l’état, la condition.
  • In shrink ! Gatefold jamais déplié ! Vinyle, Album, Label : Verve Records – V6/5008, 2000, USA, Collectors Limited Edition High Quality Colored Vinyl Condition Vinyle : NM-, vinyle jaune Pochette : NM-, in shrink w/ hype sticker ____ Nous utilisons des images de disques à titre de référence. Veuillez noter que les photos affichées sont à titre indicatif seulement. Référez-vous à notre légende pour bien comprendre l’état, la condition.
  • Vinyle, LP, Album, Good Noise Records GN 5001, 1973, Canada État du vinyle : EX to NM-, lui il le fait ! État de la pochette : VG+ : pourquoi c'est un VG+ vraiment nice ? Cette pochette est textured glossy et propice à l'accumulation de saleté, ça en a fait un ring de saleté. Nous sommes convaincu que ça se nettoie et sera un EX sans gène. L'insert est toujours là. Drill hole front top left. L'insert a le drill hole aussi. _____ Nous utilisons des images de disques à titre de référence. Veuillez noter que les photos affichées sont à titre indicatif seulement. Référez-vous à notre légende pour bien comprendre l’état, la condition.
  • Belle variation produite dans les bonnes années, repressage à même des années non-prog. Peu de copie dispo. Vinyle, LP, Label : Capitol Records _ Harvest – STBB-388, (p)1983, Canada État des vinyles :  NM- _ NM- État de la pochette : NM- _____ Nous utilisons des images de disques à titre de référence. Veuillez noter que les photos affichées sont à titre indicatif seulement. Référez-vous à notre légende pour bien comprendre l’état, la condition.
  • Article du Rolling Stone (France). On les avait laissé assis côte à côte sur leur lit à baldaquin, jeune couple urbain résolument hype, tout droit sortis d’une séance de mode pour un magazine branché ou d’un film de Wes Anderson. On savait aussi depuis Friendly Fire que Sean Lennon était un musicien et un compositeur indéniablement doué qui préférait désormais assez judicieusement l’anonymat d’un groupe (avec sa girlfriend le mannequin Charlotte Kemp Muhl) histoire d’échapper à une écrasante hérédité. Son éclectisme revendiqué – de la B.O. d’un film arty à sa participation au Plastic Ono Band de maman via quelques écarts avec The Flaming Lips – avait tendance à brouiller les pistes. Mais si l’on gardait un souvenir sympathique du dernier The Ghost of a Saber Tooth Tiger, aux tonalités délicieusement accoustiques, nul n’attendait de lui – d’eux, devrait-on dire – un disque de la teneur de ce Midnight Sun totalement psychédélique qui risque d’en secouer plus d’un. « Charlotte n’avait seulement jamais entendu « Strawberry Fields Forever » quand je l’ai rencontrée, » déclara-t-il un jour à propos de Kemp. Il est raisonnable de penser qu’elle a suivi depuis un ou deux cours de rattrappage, même si Midnight Sun ne donne nullement, sinon de façon subconsciente, dans le pastiche Revolver/Pepper’s auquel le terme « psychédélique », au regard de l’arbre généalogique de Lennon, pourrait être associé. Si le titre d’ouverture, « Too Deep », peut faire songer à certaines néo-planeries rock de feu Oasis, c’est bien du côté de la jeune garde (Temples, Tame Impala etc.) qu’il faut aller chercher. Dès « Xanadu » et surtout l’impressionnant « Animals », l’affaire prend une toute autre tournure: The GOASTT à travers ses compositions ambitieuses et débridées, aux harmonies et aux structures souvent complexes, rivalisent clairement avec les grands orfèvres pop de son époque (« Last Call », « Poor Paul Getty »), ce que viendra confirmer, à l’issue de ce trip sonique aux allures de kaleidoscope, les quasi sept minutes du grandiose « Moth to A Flame », véritable morceau de bravoure du disque. Certes, on dicernera bien ici ou là des réminiscences renvoyant au premier groupe de son illustre paternel (ici, un loop de guitare à l’envers, là une pincée de slide, le grain de voix, troublant, surtout, dans les parties de choeurs). Mais c’est avant toute la dimension artistique de Sean (et de sa compagne) que révèle chaque note de ce disque étrangement fascinant. Vinyl, Album, Label : Chimera Music – No. XVIII, 2022 État du vinyle : MINT État de la pochette : MINT, w/ hype sticker _____ Nous utilisons des images de disques à titre de référence. Veuillez noter que les photos affichées sont à titre indicatif seulement. Référez-vous à notre légende pour bien comprendre l’état, la condition.
  • Article du Rolling Stone (France). On les avait laissé assis côte à côte sur leur lit à baldaquin, jeune couple urbain résolument hype, tout droit sortis d’une séance de mode pour un magazine branché ou d’un film de Wes Anderson. On savait aussi depuis Friendly Fire que Sean Lennon était un musicien et un compositeur indéniablement doué qui préférait désormais assez judicieusement l’anonymat d’un groupe (avec sa girlfriend le mannequin Charlotte Kemp Muhl) histoire d’échapper à une écrasante hérédité. Son éclectisme revendiqué – de la B.O. d’un film arty à sa participation au Plastic Ono Band de maman via quelques écarts avec The Flaming Lips – avait tendance à brouiller les pistes. Mais si l’on gardait un souvenir sympathique du dernier The Ghost of a Saber Tooth Tiger, aux tonalités délicieusement accoustiques, nul n’attendait de lui – d’eux, devrait-on dire – un disque de la teneur de ce Midnight Sun totalement psychédélique qui risque d’en secouer plus d’un. « Charlotte n’avait seulement jamais entendu « Strawberry Fields Forever » quand je l’ai rencontrée, » déclara-t-il un jour à propos de Kemp. Il est raisonnable de penser qu’elle a suivi depuis un ou deux cours de rattrappage, même si Midnight Sun ne donne nullement, sinon de façon subconsciente, dans le pastiche Revolver/Pepper’s auquel le terme « psychédélique », au regard de l’arbre généalogique de Lennon, pourrait être associé. Si le titre d’ouverture, « Too Deep », peut faire songer à certaines néo-planeries rock de feu Oasis, c’est bien du côté de la jeune garde (Temples, Tame Impala etc.) qu’il faut aller chercher. Dès « Xanadu » et surtout l’impressionnant « Animals », l’affaire prend une toute autre tournure: The GOASTT à travers ses compositions ambitieuses et débridées, aux harmonies et aux structures souvent complexes, rivalisent clairement avec les grands orfèvres pop de son époque (« Last Call », « Poor Paul Getty »), ce que viendra confirmer, à l’issue de ce trip sonique aux allures de kaleidoscope, les quasi sept minutes du grandiose « Moth to A Flame », véritable morceau de bravoure du disque. Certes, on dicernera bien ici ou là des réminiscences renvoyant au premier groupe de son illustre paternel (ici, un loop de guitare à l’envers, là une pincée de slide, le grain de voix, troublant, surtout, dans les parties de choeurs). Mais c’est avant toute la dimension artistique de Sean (et de sa compagne) que révèle chaque note de ce disque étrangement fascinant. Vinyl, Album, Label : Chimera Music – No. XVIII, 2014, USA État du vinyle : NM-, vinyle blanc État de la pochette : NM-, w/ hype sticker _____ Nous utilisons des images de disques à titre de référence. Veuillez noter que les photos affichées sont à titre indicatif seulement. Référez-vous à notre légende pour bien comprendre l’état, la condition.
  • Vinyle, LP, Album, Label : Polydor ‎– 184 356, 1969, Canada État du vinyle : EX État de la pochette : VG+, en raison de ruban gommé utilisé pour maintenir le cellophane d'origine. _____ Nous utilisons des images de disques à titre de référence. Veuillez noter que les photos affichées sont à titre indicatif seulement. Référez-vous à notre légende pour bien comprendre l’état, la condition.
Haut de page